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Témoignage : le saut de la foi, oser servir, Abondance

  • Photo du rédacteur: Jade Rosenbaum
    Jade Rosenbaum
  • 26 août
  • 6 min de lecture
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Le Saut de la foi Osez servir et vous serez servis !

Suite à de nombreuses péripéties au cours de cette année 2025, je souhaitais vous partager, témoigner de ce qu'est « l'appel à se mettre au service » et faire ce que l'on nomme le grand « Saut de la foi ».

À travers ce témoignage, plus personnel que d'habitude, j'aspire à mettre en lumière certaines lois universelles et comment elles se manifestent concrètement dans la vie quotidienne.


Vers mars de cette année, cela faisait presque trois ans que j'habitais sur Nantes avec mon chéri, mais cela ne nous plaisait plus.


Nous avions dans le cœur un grand appel au changement, avec des envies qui commençaient à se dessiner : habiter à la campagne, dans le sud-ouest vers Toulouse, avoir enfin un jardin pour notre chat, avoir une baignoire. Tout cela était présent sous forme d'inspiration, mais nous n'avions rien cherché dans le concret, car nous n'avions pas du tout de dossier solide, même si nous avons toujours eu beaucoup de bénédictions à chaque déménagement.


De plus en plus, dans nos cœurs, nous sentions qu'à la rentrée de septembre vivre sur Nantes ne serait plus en adéquation avec nous; de plus, notre bail se terminait en octobre.


C'est là qu'une amie, à qui je n'avais pas du tout parlé de tout cela, m'a contactée pour me dire qu'elle avait trouvé une ferme près d'Albi, à une heure de Toulouse, et qu'il y a un gîte sur le terrain et qu'elle a ainsi pensé à nous pour venir y habiter.


La nouvelle est une bénédiction, mais voilà, beaucoup de peur, car nous sommes en mars et il faut être là-bas au 1er juillet.

De plus, avec mon chéri, nous n'avons pas le permis de conduire et pas d'argent de côté pour le déménagement et l'emménagement.

Malgré la peur, nous avons dit oui, mais quelques semaines plus tard, nous apprenons que nos dossiers n'étaient pas assez sécurisant et que d'autres personnes avaient été privilégiées.


On est un peu déçus mais en même temps un peu rassurés, car c'était un gros changement, peut-être trop d'un coup.


On laisse tomber l'idée, mais voilà qu'à la fin avril, les propriétaires de la maison recontactent nos amis pour expliquer que la famille qu'ils avaient signée s'est désistée et qu'ils préfèrent un dossier moins « solide », mais des gens prêts à prendre soin du lieu, donc faire un choix de cœur plutôt que de la sécurité.

Nous sommes aux anges de cette nouvelle, mais cela signifie déménager dans un mois tout juste.

Autant dire que toutes les peurs étaient là, mais nous avons dit OUI et tout s'est enchaîné en un mois avec une justesse incroyable.


Rappelons que nous n'avons ni permis de conduire, ni argent de côté pour louer et déménager nos affaires, mais voilà que, pile au moment où l'on déménage, un ami de mon chéri déménage lui aussi dans la même région pour rejoindre sa copine. Cet ami, qui par la grâce divine a un camion, se propose de faire le déménagement jusqu'à notre nouveau chez nous.

Nous nous en sortons pour 250 euros au total, entre la manœuvre et le trajet allant de Nantes jusqu'à Albi.


Les planètes s'alignent en un mois. J'arrive sur place en premier et c'est vraiment un coin de paradis; en plus, nous avons tout ce qu'il nous faut.

Nous qui n'avions pas de four, juste des plaques, voici un four tout neuf. Nous avions aussi notre machine à laver qui était tombé en panne et là, une machine à laver fonctionnelle.

Nino, notre chat, a enfin son premier jardin et même de la forêt.

C'est comme si, d'un coup, tout ce qui nous manquait jusqu'à présent était là.


En arrivant, l'une de nos peurs — même si, depuis, nous avons appris à nous en remettre au Père Céleste — était l'argent et notamment payer la caution de 800 euros.

Une somme que nous n'avions ni de côté ni en vue. Le mental commence à calculer en se disant qu'on va devoir demander à nos parents, mais quelque chose dans mon cœur me dit de ne pas paniquer : le Père Céleste est là, c'est lui qui va pourvoir.

J'avoue ne pas savoir comment une telle somme pourrait arriver, mais voilà que le début du mois où l'on doit payer arrive et, surprise, sur mon compte en banque, une somme qui dépasse mon entendement : de quoi payer la caution, le loyer, toutes les factures et être largement tranquille ce mois-ci.


Cette somme d'argent venait d'un dû accumulé dont je n'avais absolument pas connaissance et qui se manifesta au bon moment.

Nous avons pu payer notre caution sans demander à nos parents terrestres mais par la reliance à nos parents céleste. J'en suis moi-même encore bluffé.


Cet exemple concret montre à quel point, lorsqu'on ose dire oui à la vie et faire ce saut de la foi sans garantie, si ce n'est la foi elle-même en l'intelligence divine, tout devient possible. Tout cela a été possible grâce à un autre saut de la foi, beaucoup plus ancien, concernant ma mise au service pour faire l'œuvre de cette volonté supérieure et répondre à cet appel ardent dans mon cœur.


Sur Nantes, je faisais encore des boulots dits « alimentaires » : vendeuse en boulangerie et, ensuite, baby-sitter.

J'ai beaucoup aimé servir dans ces jobs, car quelque chose sonnait juste à ce moment-là.

Mais en parallèle, j'ai commencé à partager sur ma chaîne YouTube et par écrit, et là, c'était devenu un élan vital, essentiel.


À l'origine, j'avais fait des études de journalisme et j'avais travaillé un an en tant que journaliste TV pour l'émission « Mille et Une Vie » de Frédéric Lopez.

Mais après la fin de l'émission, j'avais senti l'appel de servir ailleurs, notamment auprès des enfants en tant que baby-sitter afin de développer et éditer mes ouvrages pour jeunes filles. Mais au cours de cette année, en transmettant de nouveau, j'ai senti remonter cette passion d'informer, de divulguer, de transmettre, mais avec une tout autre manière que celle que j'avais apprise dans le journalisme classique.


Et au fil de cette année 2025 sur Nantes, peu importe mon travail alimentaire à côté, j'ai servis cet élan du cœur en donnant tout ce que j'avais, car c'était essentiel et la richesse des enseignements qui s'écoulaient en moi était ma plus belle récompense.

Recevoir et transmettre sont mes bénédictions. Et c'est parce que j'ai suivi cet élan à servir, peu importe le retour en face, peu importe qui regardera ou me lira, qu'en parallèle les choses se sont débloquées pour être servis, soutenus et accompagnés.


Dans ce saut de la foi lié au déménagement, il y a aussi eu le saut de la foi consistant à écouter cet élan de m'investir pleinement dans ces transmissions.

Et depuis que je suis installée, c'est l'activation de cette nouvelle posture à servir pleinement là où mon cœur me guide et les bénédictions sont au rendez-vous.


Je voulais partager ce témoignage pour rappeler que lorsque l'on sert avec le cœur ce qui est juste, cet élan vital, peu importe les retours directs, il y a toujours un retour, mais là où on ne l'attend pas.

Également, dans ces sauts de la foi, le mental aurait pu prendre le dessus et nous décourager : pas de permis de conduire, pas d'argent pour déménager ni payer l'emménagement, pas de garants et de dossiers solides, le bus le plus proche et le village avec les commodités étant à 45 minutes à pied de notre maison, etc.


Mais il y avait quelque chose qui nous appelait. Après cela ne veut pas dire qu'une fois sur place il n'y a plus de problèmes à gérer, mais dans ce saut de la foi nous avons appris à nous en remettre pleinement au Père Céleste. Les sauts de la foi nous permettent de renforcer notre foi afin de percevoir de plus en plus les problèmes comme des occasions de grandir en Dieu.


Ici, nous avons notre petit lot de difficultés sur certains points, mais tout est plus doux, plus facile en se remettant à Dieu et aussi en servant son œuvre du mieux que l'on peut.


Osez servir sans attendre en retour et vous serez servis pour accomplir votre œuvre.


Jade Rosenbaum 🌹


 
 
 

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